Paul Verlaine (1844–1896)

“Take eloquence and wring its neck.” 

“je suis l'empire à la fin de la décadence” 

“Il pleure dans mon coeur 

Comme il pleut sur la ville.” 

“An infinite

Resignedness

Rains where the white

Mists opalesce

In the moon-shower...” 

“I like the word ‘decadent,’ all shimmering with purple and gold … it throws out the brilliance of flames and the gleam of precious stones. It is made up of carnal spirit and unhappy flesh and of all the violent splendors of the Lower Empire; it conjures up the paint of the courtesans, the sports of the circus, the breath of the tamers of animals, the bounding of wild beasts, the collapse among the flames of races exhausted by the power of feeling, to the invading sound of enemy trumpets. The decadence is Sardanapalus lighting the fire in the midst of his women, it is Seneca declaiming poetry as he opens his veins, it is Petronius masking his agony with flowers.” 

“La musique avant toute chose” 

“Tired of life, afraid of death, not unlike

A lost brig, toy of ebb and flow on the ocean,

My soul weighs anchor for a frightful shipwreck.” 

“Moi, je ne puis, chétif trouvère de Paris, 

T’offrir que ce bouquet de strophes enfantines : 

Sois bénin, et pour prix, sur les lèvres mutines 

D’Une que je connais, Baiser, descends, et ris.” 

“Ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ? 

- Toujours vois-tu mon âme en rêve ? - Non.” 

“Of its persistent, artless strain: Naught so can soothe a soul's own pain, As making glad another soul!” 

“A vous ces vers, de par la grâce consolante De vos grands yeux où rit et pleure un rêve doux, De par votre âme, pure et toute bonne, à vous Ces vers du fond de ma détresse violente.” 

“Libre à nos Inspirés, cœurs qu’une œillade enflamme, 

D’abandonner leur être aux vents comme un bouleau ; 

Pauvres gens ! l’Art n’est pas d’éparpiller son âme : 

Est-elle en marbre, ou non, la Vénus de Milo ?” 

“J'ai la fureur d'aimer. Mon cœur si faible est fou. (...) Qu'y faire ? Ah, laisser faire!” 

“— Donc, allez, vagabonds sans trêves,

Errez, funestes et maudits,

Le long des gouffres et des grèves,

Sous l’œil fermé des paradis !” 

― Paul Verlaine